Effets neuropsychologiques à long terme des utilisateurs de cannabis

Une étude américaine parue dans la revue Archives of General Psychiatry révèle que l’utilisation importante de cannabis bio marijuana aurait, après une semaine, des effets négatifs mais réversibles sur les facultés intellectuelles des individus s’adonnant à cette drogue. D’après les tests expérimentaux des auteurs, l’utilisation du cannabis sur le long terme ne serait pas associée à des effets négatifs irréversibles.

Harrison Pope et ses collègues se sont attachés à tenter de définir les effets à long terme de l’usage du cannabis sur la cognition. Les atteintes neuropsychologiques sur une longue durée provoquées par le cannabis, drogue pourtant la plus consommée aux Etats Unis, n’avaient jamais encore été évaluées.

Les auteurs ont basé leur étude sur une cohorte de personnes âgées entre 30 et 55 ans, consommateurs actifs ou passés de cannabis.

Trois groupes ont été établis : des grands fumeurs actifs de cannabis (cad plus de 5000 prises de cannabis dans leur vie)(n=63), des grands fumeurs n’ayant pas pris plus de 12 fois du cannabis durant les 3 mois passés (n=45) et un groupe contrôle de personnes ayant consommé du cannabis pas plus de 50 fois dans leur vie (n=72).

Il a été demandé aux personnes enrôlées dans l’étude de ne pas prendre de cannabis pendant 28 jours. Des contrôles urinaires ont attesté de leur abstinence. Une série d’examens neuropsychologiques leur a été soumise à 0, 1, 7 et 28 jours après l’arrêt de consommation de cannabis.

Les tests ont concerné les fonctions intellectuelles en général : la capacité d’abstraction, la vigilance, la parole, l’apprentissage, la mémoire et la détection visuelle dans l’espace. Ces tests ont été répétés plusieurs fois et les résultats interprétés de manière statistique en ajustant les variations des différents paramètres.

Les résultats ont montré qu’à 0, 1 et 7 jours certains utilisateurs de cannabis ont enregistré des valeurs inférieures au groupe contrôle concernant les tests de mémorisation. Ce phénomène de défaut de mémorisation a été trouvé corrélé à la concentration de cannabis dans les urines.

En revanche, à 28 jours, aucune différence n’a été détectée entre les groupes et aucune association n’a pu être faite entre les prises cumulées de cannabis et les valeurs enregistrées lors des tests.

En conclusion, les auteurs ont observé des déficiences de la mémoire jusqu’à 7 jours après l’abstinence chez les gros consommateurs de cannabis. Ces déficiences se sont avérées être réversibles à 28 jours et semblent donc associées à une récente exposition au cannabis.

« Nos découvertes ne vont pas dans le sens du développement de déficiences intellectuelles irréversibles chez les gros consommateurs de cannabis, tout du moins dans les limites détectables de nos tests et de notre échantillon », tiennent toutefois à souligner les auteurs.

« Cependant, en accord avec d’autres études, nous avons trouvé des déficiences intellectuelles persistantes pendant plusieurs jours, et peut-être plusieurs semaines, après l’arrêt du cannabis », ont-ils conclu.

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Cannabis cup

La Cannabis  bio marijuana Cup est un festival organisé par la magazine américain High Times (en) qui se déroule annuellement à Amsterdam et où sont récompensés, entre autres, les meilleures variétés de cannabis. Les juges sont choisis parmi le public venu tester les productions.

C’est en 1988 que Steven Hager (alors rédacteur en chef du magazine) organise le premier voyage aux Pays-Bas pour y juger la qualité de différentes variétés1.
En 1993, la manifestation est ouverte au public et de vraies coupes sont offertes aux gagnants.
Il s’agit aujourd’hui de l’un des rassemblements cannabiques les plus connus au monde. Des artistes comme Patti Smith ou Ky-Mani Marley ont d’ailleurs prêté leur nom à la manifestation.
Le public y est invités à juger les meilleurs cannabis sativa, cannabis indica, haschichs néerlandais, haschichs d’importation, produits dérivés (vaporisateurs, chillums, etc.) ou encore le plus joli stand d’exposition.
Les résultats de cette compétition sont suivis par une partie des cultivateurs de cannabis dans le monde, notamment en France, où il y a une progression du nombre de cultivateurs dans des espaces intérieurs (indoor) et extérieurs (outdoor), dans un but d’autoproduction et d’indépendance. Les herbes récompensées ou simplement en compétition sont même achetées par des internautes du monde entier souhaitant expérimenter leur culture, leurs goûts et leurs effets. La diversité des variétés augmente actuellement dans le monde, même si quelques variétés et zones de production (Maroc, Amérique du Sud, Afrique noire, Inde, Pakistan…) continuent à dominer la production globale. Une minorité de trafiquants de drogues se sert de ces nouvelles variétés pour produire en grande quantité et dans un but lucratif de nouvelles sortes d’herbes aux effets variés pour satisfaire le goût de la nouveauté. Les variétés présentées sont souvent accusées de contenir de plus fortes quantités de THC que dans les variétés en provenance de zones de production anciennes (Inde, Afrique noire, Maroc, Jamaïque, Mexique, Colombie, Brésil…) ou de productions artisanales dans un cadre individuel, privé et secret sans usage de lampes électriques puissantes (cannabiculture, autoproduction d’usagers). L’autoproduction d’herbes issues de ce type de manifestions présentes aussi en Amérique du Nord et en Suisse devrait continuer à progresser, notamment si l’approvisionnement sur les circuits classiques est rendu plus difficile, coûteux et dangereux pour les usagers.

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PRÉPARER LES LIEUX: Culture du Cannabis en Placard

Le cannabis bio marijuana

Une fois le lieu choisi, il faut le préparer pour accueillir le jardin. L’électricité, les matériaux réfléchissants et le sol – tout doit être prêt et propre.

LA PROPRETÉ
Jardiner dans un endroit propre et débarrassé des objets inutiles réduit de beaucoup les risques d’accidents et de dégradation des plantes, et cela rend le travail plus aisé.
D’abord, tout matériau étranger doit être retiré du lieu, ou au moins placé dans des boîtes solidement fermées. Il faut ensuite minutieuse­ment y passer l’aspirateur. Si les murs présentent des espaces ou des orifices communiquant avec l’extérieur, il faudra les sceller de façon à empêcher l’air et la lumière de passer. Cela permettra aussi d’arrêter les insectes et autres nuisibles, et d’éviter tout soupçon au-dehors.
Le rebouchage sera peut-être réalisable à (aide de plusieurs couches de large ruban adhésif, mais il faudra peut-être plâtrer ou effectuer un petit travail de menuiserie. Les fenêtres devront également être obstruées de façon à ne laisser aucune lumière suspecte filtrer au­dehors. Un morceau de carton ou de contreplaqué ou quelques feuilles de 6 mm de polyéthylène noir feront l’affaire. Pour éviter l’apparence suspecte d’une fenêtre condamnée, des rideaux, des draps ou des stores vénitiens pourront être placés à la vue de l’extérieur.
Une fois la pièce rangée et aspirée, il faut à présent la laver à l’aide d’un détergent ménager pour rendre l’endroit plus hygiénique.

L’ÉLECTRICITÉ
En regard de leur taille, les jardins d’intérieur de marijuana sont de gros consommateurs d’électricité. L’espace éclairé d’un tel jardin demande généralement entre 200 et 600 watts par mètre carré, sans compter les climatiseurs, pompes, ventilateurs, chauffe-eau et autres systèmes de circulation lumineuse qui alourdissent la charge.
Il est très important que le câblage soit à même de supporter la charge électrique. Autrement, les courts-circuits, provoquant des coupures imprévues, sont probables. Pire encore, un incendie pourrait se déclarer. La question de l’électricité doit être réglée avant d’entre­prendre le jardin, car il est très difficile de perfectionner le réseau une fois la pousse commencée.
Le câblage doit être prévu pour supporter une charge supérieure à celle qui est nécessaire. La charge est le nombre total de watts qui seront consommés aux moments de pointe. Le plus gros consommateur d’électricité est la lumière, avec 250, 400 ou 1000 watts par lampe. Les autres appareils ont aussi un wattage. Lors du câblage, le nombre total de watts doit être surestimé de 40 % afin d’assurer aux lignes une bonne marge de capacité.
Si nous avons chiffré la puissance des appareils nécessaires au jardin en watts, ils sont souvent eux-mêmes indiqués en ampères. Pour convertir les watts en ampères, il faut diviser le wattage total par 220, voltage employé en Europe (W/V = A). A titre d’exemple, un jardin de deux mètres carrés éclairé par une lampe de 1000 watts, où fonction­nent des ventilateurs, un climatiseur, un chauffe-eau, des pompes et divers indicateurs, a une demande maximale de 2000 watts. Il est peu probable qu’une telle charge sera jamais réellement employée, mais si tous les appareils fonctionnaient en même temps, elle le serait. Après multiplication des 2 000 watts par 140 %, nous arrivons à 2 800 watts. Ces 40 % supplémentaires correspondent au wattage perdu – telle la résistance des ballasts et des lignes – et fourniront une marge permet­tant aux câbles de ne jamais être mis à l’épreuve. Puis on divise par 220 (le voltage) : la capacité totale que demande le jardin est de 13 ampères.
Que ce soit dans une maison ou un appartement, tout circuit possède un disjoncteur ou un fusible. C’est là qu’est indiquée la puissance électrique du circuit. Un seul circuit suffit généralement aux besoins d’un petit jardin, mais un espace peut demander que l’électri­cité provienne de plus d’un circuit. Il sera alors préférable de confier la pose des fils électriques à quelqu’un qui s’y connaisse.
Que l’électricité provienne d’une autre pièce ou qu’elle dérive d’une prise murale, les prises électriques devront être placées bien au­dessus du sol à une hauteur pratique pour travailler debout, de façon à pouvoir aisément brancher et débrancher et que les lignes soient bien au-dessus du niveau de l’eau. Aucun fil électrique ne doit reposer au sol. Au contraire, le câblage devra circuler en hauteur le long des murs ou pendre du plafond. Cela réduit les risques de le voir entrer en contact avec l’eau.
Dans un petit espace, les prises pourront n’être posées qu’en un seul endroit, mais des espaces plus grands demanderont plusieurs prises placées à différents endroits pour éviter les rallonges et les fils qui
pendent. Si des rallonges sont employées, elles devront être adaptées au courant qu’elles convoient et seront dotées de trois fils (prises de terre) pour les appareils qui le demandent.
Les appareils exigeant une prise de terre devront toujours être bran-
chés dans des prises à trois lignes reliées à la terre. S’il n’y en a pas, la troisième ligne (la terre) devra être reliée à une masse électrique telle qu’un tuyau de plomberie métallique. Là encore, mieux vaudra laisser
agir un spécialiste. On pourra prétexter que ces prises sont censées recevoir du matériel informatique.
Les appareils électroniques, tels que les indicateurs, devront être reliés à des onduleurs. Ces derniers doivent être reliés à la terre pour bien fonctionner.

LES SOLS

Les sols ne supportant pas les liquides ou l’humidité devront être
protégés. Tapis, linoléums et parquets devront être recouverts d’un revê­tement de façon que l’eau ne puisse les atteindre. C’est extrêmement
important car cela évitera les dégâts en cas d’accident ou même de renversement d’un peu de liquide.
Où qu’il y ait de l’eau, les risques d’en renverser existent. Si l’espace est bien conçu, il sera alors facile d’y remédier.
Les meilleurs matériaux pour cela sont les revêtements en caout­chouc pour bassins. On peut aussi employer de la bâche plastique ou du polyéthylène étanche.
Une couche épaisse de papier journal sous le revêtement absorbera l’humidité si jamais de petits trous s’y formaient, ce qui est très impro­bable. Pour davantage de sécurité encore, on peut réaliser un sandwich de papier journal. Un premier revêtement est posé au sol, puis une couche de papier journal, suivie d’une autre de revêtement au-dessus.

LAVENTILATION
La plupart des petits systèmes ne demandent qu’un ventilateur pour échanger l’air avec l’extérieur de la pièce de culture. Si l’espace requiert une ventilation sophistiquée, elle devra être installée par un technicien compétent.

INSTALLATIONS FINALES
L’endroit est prêt. Les sols sont protégés, les murs, recouverts de maté­riau réfléchissant, le circuit électrique et les prises sont prêtes à l’emploi et la ventilation est posée. L’étape suivante consiste à installer le jardin.
D’abord, il faut que minuteurs et appareils de mesures soient bien installés et branchés. Puis il faut les régler.
Pour poser l’éclairage, un crochet fixé au plafond devrait suffire. Les systèmes de circulation lumineuse peuvent être directement vissés au plafond. Toutefois, on les fixe parfois à un panneau de façon à pouvoir aisément les retirer, avec un écrou papillon, par exemple. Le panneau est ensuite solidement fixé au plafond à l’aide de chevilles ou d’autres types de fixation. La lumière devra être reliée à la minuterie.
Les extracteurs d’air internes doivent ensuite être installés. Ils peuvent pendre du plafond, ou être placés sur une table ou une étagère. Un ventilateur sur pied peut s’avérer opportun. Le ventilateur externe doit être raccordé à un thermostat/ hydrostat.
Le climatiseur, s’il y en a, doit être raccordé au thermostat/ hydrostat installé dans la pièce de culture. Le distributeur de C02 doit être branché et mis en route. S’il est régulé par un indicateur, ce dernier doit être placé à hauteur du feuillage de façon que la lecture des ppm de CO2 se fasse au niveau de la plante.
Tout est prêt à présent, il ne manque que les bacs ou le système hydroponique. Le moment est venu d’installer cuvettes, réservoirs, conteneurs et tout ce qui est nécessaire.

PRÉPARATION DU MÉLANGE
Une fois tout le reste installé, il faut placer le système de culture. Les éléments du système hydroponique ou les cuvettes destinées au terreau sont en place. Il faut à présent remplir d’eau le réservoir du système hydroponique, préparer le mélange et mettre le système en route pour vérifier que les minuteurs et tout le reste fonctionnent bien.
La première considération au moment de préparer le mélange doit toujours être la sécurité. La plupart des ingrédients font de la poussière lorsqu’on les manipule. Certaines de ces poussières, telle la vermiculite ou la perlite, sont cancérigènes. Les poussières des autres ingrédients ne sont pas forcément bonnes à respirer non plus.
Pour éviter les problèmes, on pourra humidifier les ingrédients afin d’éliminer la poussière avant usage, ainsi que nous l’avons vu plus haut. Il suffit pour cela d’ouvrir le paquet et de mouiller le mélange à l’aide d’un arrosoir. L’eau devra contenir un agent humidificateur pour briser la croûte de la surface. Une cuillerée de liquide vaisselle pour quatre litres d’eau fera l’affaire.
Quand elles sont sèches, la vermiculite et la perlite font beaucoup de poussière. Si elles n’ont pas été humidifiées, le jardinier travaillera dans un espace bien aéré, portera des gants de caoutchouc ou de jardi­nage et des vêtements à manches longues, ainsi qu’un masque à pous­sière. Le meilleur moyen d’échapper à tout cela est tout de même d’éviter la poussière en pré-mouillant le mélange.

Il est plus facile d’obtenir un mélange homogène lorsque le substrat est préparé en petits paquets. Non seulement le mélange sera plus effi­cace, mais le récipient où il est effectué pourra conserver des dimen­sions raisonnables.
Une grande bassine en plastique, ou une autre plus petite mais galvanisée, feront un excellent récipient pour la préparation des mélanges et le remplissage des pots. Si vous employez de la vermiculite ou de la perlite, ou tout autre substrat poussiéreux, munissez-vous d’un arrosoir ou d’un tuyau d’arrosage et mouillez soigneusement 1e mélange. L’eau pénètre jusqu’à environ 15 cm d’un sac de 100 litres. Lorsque le substrat commence à sécher, il est temps de remouiller le mélange. Les ingrédients humides ne produisant pas de poussière, le mélange peut donc être effectué à la main, avec de simples gants de caoutchouc. Pour faciliter l’opération, on procédera par petites quantités (de six à huit pots de 20 cm).

AVANT DE COMMENCER
Avant de planter la première graine ou de transplanter la première bouture dans le nouveau jardin, un jardinier averti s’assurera que l’es­pace est prêt. Voici une liste récapitulative générale respectant l’ordre dans lequel le jardin est généralement élaboré.

1. Électricité -Assurez-vous que le circuit est suffisant pour alimenter le jardin en toute sécurité. Ce n’est habituellement pas un problème pour les petits jardins, mais dans des espaces plus vastes, cela impli­quera peut-être de devoir tirer des lignes supplémentaires depuis le compteur. Installer les ballasts et le reste du matériel, les prises, rallonges, interrupteurs et minuteurs bien au-dessus du sol et à l’abri de l’eau.Vérifiez bien que tout l’éclairage et le matériel électronique fonctionnent.
2. Ventilation et système de refroidissement – Installez la ventila­tion ou le système de refroidissement. Vérifiez que la pièce reste dans la bonne fourchette de températures pendant plusieurs cycles.

3. Système hydroponique -Assurez-vous de son bon fonctionnement.
4. Système en terre – Les pots doivent être prêts à recevoir les
graines ou les boutures.
5. Matériau réfléchissant – Essentiel car la croissance des plantes dépend de la lumière.Vérifiez que le revêtement est en place et soli­dement fixé.

6. CO2 -Assurez-vous du bon fonctionnement du régulateur.

Quel que soit le système employé, un bon cultivateur procède à un dernier test de fonctionnement général. Il s’assurera que les lampes, l’apport d’eau, l’évacuation, le CO2, la ventilation et tout le reste sont bien en place et prêt à l’emploi. Les pompes et les minuteurs seront soigneusement vérifiés. Il est bien plus simple d’intervenir sur le système avant que les plantes ne commencent à y pousser.

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États-Unis : le cannabis « récréatif » autorisé le 1er janvier dans deux États

A partir du 1er janvier 2014, les habitants de l’État de Washington (nord-ouest des États-Unis) et du Colorado (ouest) pourront aller en boutique acheter du cannabis bio marijuana, sans motif médical.

Aux États-Unis, les premières échoppes du pays commercialisant du cannabis à des fins récréatives ouvriront leurs portes le 1er janvier, dans les États de Washington (nord-ouest) et du Colorado (ouest). Les deux États ont légalisé la consommation du cannabis à des fins récréatives par voie référendaire en novembre dernier, mais la législation entre en vigueur ce 1er janvier.

Les cultivateurs de cannabis espèrent que ces États sont des précurseurs bientôt suivis par d’autres, tandis que les autorités sont impatientes de récolter leurs premiers impôts sur cette nouvelle activité commerciale, du moins dans sa forme légale. Certaines sociétés offrent même déjà des voyages organisés, ciblant la masse de touristes attendus pour l’occasion dans l’État de Washington et sur les pistes de ski du Colorado.

Tourisme et cannabis

« La nouveauté en elle-même attire les gens de toutes parts », explique Adam Raleigh, patron du fournisseur de cannabis Telluride Bud Company. « J’ai des gens qui vont venir en voiture du Texas, de l’Arizona et de l’Utah, juste pour faire partie de l’Histoire ». L’homme reprend : « Ces derniers mois, j’ai reçu chaque jour entre quatre et six courriels, et entre cinq et dix coups de téléphone de personnes me demandant des détails sur la loi et la meilleure date pour combiner vacances au ski et cannabis ».

La consommation de cannabis à des fins médicales est déjà légale et réglementée dans 19 États du pays. Et dans la plupart de ces derniers, la consommation à des fins récréatives n’est pas considérée comme un délit. Mais le Colorado et Washington ont franchi un pas de plus en mettant en place un système où les autorités locales superviseront la culture, la distribution et le marketing de l’herbe pour le simple plaisir des consommateurs, faisant planer un parfum de « coffee shop » néerlandais sur l’Ouest américain.

Le marché est énorme : selon le cabinet d’études ArcView Market Research, les ventes légales de cannabis augmenteront de 64% entre 2013 et 2014, pour passer de 1,4 milliard de dollars à 2,34 milliards.

Des milliers de demandes de licences

Dans le Colorado, célèbre pour ses stations de ski, les autorités ont accordé des licences à 348 magasins, qui pourront vendre jusqu’à 28 grammes de cannabis par transaction aux plus de 21 ans.

Dans l’État de Washington, 3.746 demandes de licences ont été déposées, dont 867 pour des magasins, selon le Seattle Times, qui appelle à la prudence dans un éditorial. « La légalisation du cannabis (est) un séisme dans la politique de contrôle des drogues, peut-être le plus important depuis la fin de la Prohibition », écrit le journal, en référence aux 13 années (1920-1933) pendant lesquelles l’alcool était interdit aux États-Unis. « Les défenseurs comme les opposants n’ont plus qu’à retenir leur souffle ».

Retombées économiques

L’antenne au Colorado de l’Organisation nationale pour la réforme des lois sur le cannabis (NORML) assure pour sa part que tout le monde va bénéficier de la nouvelle législation. « Cela va créer de l’emploi, des rentrées fiscales pour l’État, une activité touristique supplémentaire, et entraîner le développement d’une nouvelle industrie dans le Colorado », explique à l’AFP Rachel Gillette, avocate de NORML. « Cela permettra aussi de sortir le cannabis du marché noir », dit-elle.

Michael Elliott, patron du Medical Marijuana Industry Group, souligne que l’afflux de touristes pourrait même entraîner une pénurie de cannabis au Colorado. « Il est difficile de savoir si l’offre correspondra à la demande, car il est difficile d’évaluer l’impact du tourisme sur cette nouvelle activité », déclare-t-il à l’AFP. « Apparemment, la demande va dépasser l’offre, et je pense que les prix vont augmenter. Mais avec le temps, il y aura plus de vendeurs et donc plus d’offre ».

Adam Raleigh compare la légalisation du cannabis à celle du mariage homosexuel, aujourd’hui en vigueur dans plus d’un tiers des États américains. « Laissons passer six mois. Quand les autres États verront l’argent que nous faisons et quand ils constateront que le monde ne s’est pas écroulé, cela s’étendra comme le mariage gay. On ne peut pas aller contre la volonté des gens », dit-il.

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BARCELONE. – DESTINATION DE RÊVE POUR LES CONSOMMATEURS DE CANNABIS.

Un nouvel Amsterdam cannabis bio marijuana.

L’essor des clubs de cannabis, dans lesquels la consommation est tolérée par les autorités, a transformé Barcelone en capitale européenne du tourisme de la marijuana.
«Les clubs de cannabis, c’est un peu n’importe quoi. » Ce n’est pas la police qui le dit, mais Jaume Xaus, le porte-parole de la Fédération des associations de consommateurs de cannabis de Catalogne. Depuis deux ans, la prolifération de ces clubs privés (qui ont un statut d’association et dans lesquels on peut consommer légalement de la marijuana) a fait de Barcelone une destination de choix pour tout fumeur. En 2011, on en comptait une quarantaine dans la ville. Aujourd’hui, il y en aurait plus de 200.

Les touristes de la fumette préfèrent désormais se rendre à Barcelone qu’à Amsterdam. Et pour cause : on y trouve un meilleur climat et de meilleurs prix pour une qualité égale. Webehigh.com, portail de référence pour les voyageurs qui souhaitent savoir où la consommation de cannabis est légale, attribue 5 points, le maximum, à Barcelone – 1 point signifie que la consommation de cannabis est illégale et très mal vue, 5 qu’elle est virtuellement légale.

Des agences de tourisme cannabique

Pour entrer dans ces clubs, un parrainage est nécessaire. Ce critère d’accès a fait fleurir un commerce parallèle à Barcelone, en particulier à Ciutat Vella (la vieille ville), où ils sont à présent nombreux à gagner leur vie en facilitant l’accès des clubs aux touristes. Des entreprises comme Greenland (“ton guide personnel dans le monde des associations de marijuana à Barcelone”) ou Botwin (“la première entreprise touristique d’Europe spécialisée dans le cannabis”) viennent s’ajouter aux centaines de particuliers qui, via des forums et des sites web, se proposent de faire entrer les touristes dans ces clubs.

Des associations de fumeurs distribuent directement des flyers sur la Rambla (avenue centrale de Barcelone), proposant un “pass d’une journée” aux touristes, ou choisissent de payer une commission aux commerçants autour de leur local pour chaque personne qu’ils dirigent vers leur club.

Juan (prénom fictif) répond au téléphone en anglais. Après avoir constaté que la personne au bout du fil n’est pas étrangère, il poursuit la conversation en espagnol. Il a lancé son agence de tourisme cannabique il y a deux mois et les affaires marchent plutôt bien. Rien qu’en consacrant pour l’instant l’essentiel de ses efforts à passer des accords avec les clubs, à prendre des contacts et à créer son site Internet, il a déjà gagné environ 1 000 euros. « Les clubs me paient entre 10 et 15 euros par nouveau client », explique-t-il, assis au bar de la faculté de géographie de l’université de Barcelone. « Je ne facture rien au touriste. » Il poursuit : « Je ne pense pas qu’il puisse m’arriver quelque chose (d’un point de vue légal). Je ne fais que garantir au client qu’il va pouvoir adhérer à une association. »

Le développement du commerce autour de la marijuana a éveillé l’intérêt de cultivateurs étrangers, qui ont fait de Barcelone leur base d’opérations. Dans le secteur, certains assurent que des clubs de cannabis barcelonais sont en réalité gérés par les grandes chaînes de coffee-shop et les banques de graines néerlandaises.

Ces mêmes sources affirment que les autorités catalanes sont bien conscientes du problème lié au tourisme cannabique. La municipalité de Barcelone a déjà annoncé que ces clubs allaient faire l’objet d’une réglementation spécifique, portant notamment sur la limite d’âge, leur distance par rapport aux collèges et l’évacuation de la fumée. Au-delà de ces mesures, le département de santé catalan prépare lui aussi une « proposition de réglementation des bonnes pratiques », qui sera présentée devant le Parlement de Catalogne entre février et mars 2 014, selon des sources au fait des négociations.

La proposition, encore débattue, comprend un nombre maximum de membres pour chaque association (entre 400 et 600), un âge minimal d’accès (18 ou 21 ans), ainsi que diverses exigences de transparence pour maintenir ces clubs éloignés de la sphère commerciale.

Jaume Xaus, le porte-parole de la Fédération des consommateurs de cannabis de Catalogne, reconnaît que certains clubs de fumeurs ont outrepassé leurs droits et ont “piétiné le modèle” d’association à but non lucratif. Il admet toutefois que la prolifération des clubs de cannabis a incité les autorités à réglementer le secteur, ce que la fédération elle-même réclame depuis maintenant plus de dix ans.

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